• Chapire 22 : Mon amour !

    Chapire 22 : Mon amour !

     

    PDV Lévy

     

    " Ouais", c'est tout se qu'il m'avais dit. Je sais bien que Gajeel n'a jamais été très littéraire, ni très démonstratif mais j’espérais un peu plus qu'un vulgaire "ouais" comme ultime souvenir de l'homme que j'aimais. J'avais imaginer qu'il me retiendrais, qu'on irais au festival ensemble, et puis même qu'on se marierais et qu'on aurais des enfants, pourquoi pas ? Se n'était pas mon frère, si j'avais mis du temps à digéré la nouvelle c'était tant mieux au fond. Je pouvais l'aimer et s'il m'avais retenu je ne m'en serais pas privé. Mais il s'en fichais.

    J'était à deux doigt de pleuré quand un coup à ma fenêtre me fis sursauter. On était en train de roulé qu'est se que . . . la réponse fut instantané : Gajeel. Il était là juste à coté de moi roulant tout prés en gesticulent comme il pouvais. Je me fichais bien de pourquoi il était là car il y était et à ce instant précis j'ai décidé que je ne le quitterais jamais. Soudain Otoya s’arrêta et la le cerveau de Lévy déconnecta.

    Elle vis Gajeel continué à avancer pris dans son élan. Otoya ne s'étais pas arrêter pour Gajeel, il y avait un feu et il était rouge. Gajeel ne l'avais pas vu et la même couleur colorais maintenant les vêtements de son bien aimé immobile en face d'elle.

    La moto avais percuté un mur et son amour avec.

    Sans plus réfléchir elle se précipita sur Gajeel, il avais été propulsé loin de cet  foutu moto à cause du choc et déjà un attroupement se formais. Lévy entendis vaguement quelqu'un dire qu'il avais appeler les urgences, que les ambulances ne tarderais pas mais elle s'en fichais au fond. 

    Il était là, dans ses bras, il ne pouvait pas mourir . . . pas maintenant se serais trop bête. Jamais d'ailleurs il devait rester avec elle. Elle le serrais tout contre sa poitrine, dégoulinante de larme quand elle cru entendre gémir.

    Il respirais, il voulais dire quelque chose :

    - mff

    - Ne parle pas tu dois te reposer, tout à coup très agite elle cherchais les ambulances des yeux.

    -mff, s'obstina t'il

    - chut ne t’inquiète pas

    -mff, tu . . . toufe

    - quoi ?

    - M'étouffe

    Instantanément elle le lâcha. 

    - Lévy, reste avec moi, ne part pas . . . allons au festival

    Elle faillit s’étouffer de bonheur mais heureux d'avoir délivrer son message Gajeel perdit connaissance.

     

    Quelques heures plus tard

    PDV du médecin

    Les amis du patient étaient tous là, terriblement anxieux depuis le transfert du jeune homme. La jeune sœur de se dernier vint à moi terriblement secoué et visiblement préparé au pire je du me résoudre à lui dire l’entière vérité:

    - Mademoiselle se que je dois vous dire n'est pas facile à entendre.

    Déjà la jeune fille s'effondrait et je me rattrapais vivement :

    -Votre frère est en parfaite santé.

    Il y eu comme un blanc, tous paraissaient parfaitement . . . en fais je ne sais pas je crois que la meilleur description serais qu'ils était des poissons.

    - Mais la moto, le sang . . .

    -Je ne puis vous expliquer comment mais votre frère est en très bonne santé, il ronfle actuellement bruillement dans sa chambre et semblais juste psychologiquement épuisé. Il n'a pas une égratignure, ce garçon est en acier.

    Se fut un soulagement visible pour tout se jeunes gens.

    La jeune fille resta au coté de son frère pendant son sommeil et pour longtemps encore.

    Dans ma longue carrière j'ai eu la chance de les revoir plusieurs fois et souvent pour d'heureux événement.

     

    Voila voila, chapitre cour et un peu expéditif mais je préfère se qui suit ^^


  • Commentaires

    1
    mélodie
    Samedi 14 Juin 2014 à 23:12

    on peut ppas lire les chapitrescry

    2
    Mardi 17 Juin 2014 à 18:13

    je sais en fait ils ne sont pas écrit, j'ai le scénario mais il faudra attendre les vacances ( pas avant le 25 ) pour la suite la j'ai mon bac ^^

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