• Chapitre 20 : Le temps passe . . .

    Chapitre 20 : Le temps passe . . .

    PDV Lévy

    Depuis la révélation de Gajeel les semaines passent sans que rien ne me touche. Combien de temps cela fait il? depuis quand suis-je dans cette transe? Je ne sais plus. Je ne suis pourtant pas totalement absente, je sais que mon départ pour le village d'Otoya est maintenu. Il s'affaire plein d'entrain, planifiant déjà notre vie pour les 10 années à venir. Ai-je décidé de partir? Je ne sais plus. Est ce que je veux partir? Je ne sais pas. Ce n'est pas grave ils ont décidé pour moi.

    Je ne suis pas totalement amorphe non plus, il m'arrive de parler et de rire comme avant, mais pas en présence de Gajeel. 7 . oui c'est cela, sa fait 7 semaines qu'il m'a dit qu'il n'était pas mon frère et 7 semaine depuis la dernière fois que je lui est adressé la parole. Pourtant je ne suis pas faché contre lui. J'aimerais lui dire que je ne lui en veux pas et que je l'aime toujours. Qu'au fond je veux resté avec lui. Oui c'est sa je ne veux pas partir mais je n'ai fait part de ma décision à personne . Se n'est pas une décision, c'est se que je veux. J'aurais voulu lui dire, comme se jour là dans la bibliothèque, tout se que j'ai sur le coeur mais chaque fois que je le vois mon esprits se vide pour se fixer uniquement sur le mensonge.

    Pourquoi je fais un point ? par ce que je part dans 2 jour. Otoya fais un petit allé retour pour vérifier que tout est prés. il est parti se matin et il ne reviendra que se soir. Demain à la même heure (c'est à dire en début d'après midi) je serai en train de m'éloigner de tout se que je connait, de tout se que j'aime.

    Le pauvre Gajeel n'ose plus, ni m'approché, ni me parlé depuis sa révélation, pourtant aujourd'hui  en sortant de l'école il était là . Il en pleurais presque quand il a dit tout bas "surprise". J'en est pleuré et lui aussi. On c'est trouvé stupide mais dans une sorte d'accord commun on c'est pris la mains et on c'est dirigé vers la bibliothèque.

    Pour la première fois, il est venu s'asseoir avec moi et il m'a demandé :

    - Tu te souviens pourquoi je reste toujours à l'entré ?

    j'ai fais signe que non, toujours incapable de dire quoique se soit et il m'a répondu :

    - C'est là que tu m'a trouvé. Pas dans cette bibliothèque bien sur, dans celle de notre ville natal. Tu est venu me voir et tu m'a demander si j'était un garde ou un prince qui attendais sa princesse. J'ai grogné et je t'ai répondu que j'était le méchant loup qui les mangeaient. J'était venu la pour me cacher et j'ai cru que tu te moquais de moi mais quand tu m'a dit que tu voulais être mangé sa m'a tellement fais rire que j'ai faillit en mourir .  Depuis je ne sais pas pourquoi mais je croyais devoir jouer le prince qui t'attendais. J'avais tord bien sur, je suis toujours un loup. Tu m'a domestiqué, apprivoisé au fur et à mesure que j'ai apprise à te connaitre et je suis devenu ton chien de garde. C'était présomptueux de ma part d'avoir pensé que je pourrais être ton prince.

    Je ne me suis pas retenue de pleuré, je l'ai traité d'idiot et il m'a pris tendrement dans ses bras en me demandant pardon. Sur le chemin du retour il c'est excusé pour tant de chose que j'aurais voulu l'embrasser pour qu'il se taise : " pardon de t'avoir menti", "pardon de n'avoir pas su te protégé", "pardon de t'avoir aimé", "pardon" toujours des pardons. Mais c'était inutile, je savais qu'il était sincère mais j'avais été une solution de secours et je ne parvenais pas a l'oublié. J'ai du penser  haute voix car il c'est tu. Il c'est arrêté un moment puis nous avons changer de direction pour rejoindre le parc. Il c'est installé sur une balançoire et m'a dit :

    - C'est vrai qu'au début tu n'était qu'une porte de sortie pour moi. D'ailleurs je ne te l'ai pas caché, au début je te détestais. Tu avais tout se que je n'avais pas et tu était toujours tellement gentille. J'avais l'impression d'être un jouet, un caprices passager dont tu finirais par te lasser. Quand on a emménagé en ville je croyais toujours te détester mais quand tu t'es perdu je me suis rendu compte que je m'était attaché a toi, que je tenais à toi. Tu te souviens que le lendemain de la rencontre avec cobra nous somme allé à la bibliothèque? Se jour là je me suis souvenu de notre rencontre et j'ai décider d'être ton frère. Si je t'ai détester a un moment, j'ai été prés à tout pour te protéger depuis se jour là.

    J'a encore pleuré, de joie, d'amertume, d'amour . . . je n'ai jamais tant pleuré de toute ma vie. Rentré à la maison tout est redevenu comme avant : il est aller se douché, j'ai préparer à manger. On a mangé ensemble en riant, on a même parlé du festival. il a débarrassé et je me suis battu avec lui pour essuyer la vaisselle. Mais Otoya est rentré et nous somme revenu à la réalité : je partais le lendemain pour ne jamais revenir.

     

    Bon je suis d'accord, c'est pas la joie en se moment, vous aurez la fin de l'histoires dès demain. En attendant bonne fêtes à tous ^^


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