• Chapitre 8 : Le sanctuaire

    Chapitre 9 : Le sanctuaire

    PDV Gajeel

    J'ai passé 10 minutes à essayer de la rassurer mais rien à faire : elle me répète que c'est bon, que tout va bien sans pour autant se détendre. J'ai beau lui demander se que lui a dit  l'autre idiot, rien à faire, impossible de lui arracher autre chose que "t'inquiète pas, sa va" et sa va pas , sa m'ulcère. Qu'elle refuse de me dire de quoi ils ont parlé me blesse et achève de me mettre hors de moi. Je ne trouve rien de mieux à faire que de prendre la mains de ma soeur et de la traîner tout le long du chemins du retour. Je serre trop fort, je le sais, je lui fait mal. Je vais trop vite aussi, la pauvre a peine à suivre mais je suis incapable de me calmer et encore moins de la lâcher. Ce gamin, son air suffisant et le fait que Lévy refuse de me dire se qu'il c'est passé entre eux me met hors de moi, me blesse , je me sent trahi, inutile et surtout stupidement jaloux. Je me sent horrible, je me met égoïstement en colère alors que Lévy a besoins de moi, mais c'est plus fort que moi. Il faut qu'elle trébuche et que je la rattrape in extrémis pour me faire toucher terre. Elle n'est plus seulement perdu elle est sur le point de pleurer et moi comme un idiot je m'énerve tout seul mais c'est elle qui a le plus besoin de moi pour l'instant.. 

    Sa mine apeuré fini de me dégoûter de moi même. Je ralentis le pas, passe mon bras autour de ses épaules et change d'itinéraire : direction le Sanctuaire ( pour ma soeur c'est la bibliothèque). Lévy aime beaucoup cet endroit, au fil  du temps c'est devenu un sanctuaire, chaque dispute, chaque chagrin c'est vu absorber pas ses immenses murs blancs. Je la laisse entrer et me cale dans un coin prés de l'entrée .d'abord incrédule, comme sortit d'un mauvais rêve,  elle hésite mais elle ne tarde pas à se réveiller. Elle commence à voltiger entre les étagères : d'une allée à l'autre elle glisse, entre la romance et l'horreur elle vole. Elle est comme un poisson dans l'eau. Heureux j'en oublie même de m'énerver contre l'intrus qui a gâché la journée et doucement je m'endort : tranquillisé.

    PDV Lévy

    Ah des livres, je revis. Depuis l'arrivé d'Otoya je me sentais mal comme, si j'avais mangé trop de marshmallow en mille fois pire. Je prend un livre au hasard mais le résumé ne me convient pas : une fille tombe amoureuse de son frère mais celui-ci est sur le point de se marier. Après avoir remis d'un geste désespéré une bonne dizaine de livres à leurs places, je me laisse tenter par une histoire de mage loufoque qui ont la fâcheuse tendance de tout détruire quand ils aident quelqu'un . Ah mais non j'ai rien dit, le personnage principal s'appelle Natsu et il a les cheveux rose, c'est trop bizarre. les cheveux rose j'ai arrêté depuis Shugo Chara.

    Finalement j'en est trouvé un qui me plaisait, je m'installe à Ma table. Chaque fois que je viens elle est libre et je soupçonne le bibliothécaire de me la réserver. Hakkai est un chouette type, bavard et assoiffé de connaissance. Il fait un peu parti de la famille, pour moi c'est l'oncle que je n'ai jamais eu ...

    De cette table je peux voir mon frère, mon amour de frère, qui s'assied toujours au même endroit : devant le  un comptoir d'Hakkai a coté de l'entré. Depuis q'on est petit c'est comme s'il  c'était attribué cette place. Il doit y avoir une raison pour qu'il se mette là en particulier, peut être une histoire drôle mais je ne m'en souvient pas.

    Très vite le livre que j'ai choisis me désintéresse et mes pensés dérivent. Je n'ai pas dit à Gajeel se que mon "frère" m'a dit, pourquoi? J'ai peur, mais de quoi? Que Gajeel soit furieux ou de la vérité?. De toute façon sa ne peut pas être vrai je ne comprend pas pourquoi j'y met autant d'importance. Je porte la mains à ma poche, la lettre y est toujours mais j'ai peur de l'ouvrire. Si je disait la vérité à Gajeel il serait perturbé, d'autant plus que je ne lui est pas dit tout de suite.

    Ou alors je me monte la tête, il en rirait surement en fait et il me dirait que je suis naïve et que c'est pour ça qu'il m'aime. qu'il m'aime. . . la langue française est vraiment cruelle parfois. oh et puis flûte comment  va s'en sortir Luffy ? je me remet à lire, c'est criminelle d'abandonner une histoire en cours de route.

     

    J'aime bien se chapitre, faut dire que comme Lévy les bibliothéques sont mes sanctuaires, je m'y sent comme chez moi , vous avez devinez qu'elle étai les livres que levy avait remarqué ?

    Tien en passant, Hakkai est un personnage de saiyuki ^^


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