PDV Levy

 Quand je réveil Gajeel, il est 8 heure passé (l'heure de fermeture en fait) il est un peu désorienté et je le laisse reprendre ses esprits tout en me dirige doucement vers la sortie de la bibliothèque. La suite des histoires de Luffy, l'étrange pirate repose dans mon sac et  la tête dans les nuages je me demande qui de Luffy ou de Ace est le plus fort. Un contacte me fait redescendre instantanément : Gajeel, Bon sang, de bon soir il m'a pris la main. Pas comme tout à l'heure quand il était en colère : c'est un geste doux et plein de tendresse (fraternel malheureusement).

 Sa main est immense, la mienne y disparais entièrement. Elle est dur et rugueuse mais je me surprend à penser qu'il a les plus belles mains du monde. On marche doucement, main dans la main, l'un contre l'autre. Il fait déjà nuit et les arbres qui se dénudent laissent tomber sur nous la lumière tamisé des lampadaires. La nuit est douce pour la saison, et clame,  mais sa c'est par ce qu'il se fait tard. Les quelques personnes qui passent me semblent flou, presque un irréel tant je me sent porter hors de mon corps. Peut être est ce moi qui devient flou.

Pourtant je n'ai jamais autant sentie que je suis dans mon corps, ma main en particulier, devenu agréablement moite sous la douce étreinte de mon frère. c'était peut être sa le paradis, car rien n'a jamais été et ne sera jamais aussi beau que cet instant hors de tout où je peut exposer sans crainte et sans gène (bien que brièvement) mes sentiments. C'est agréable et douloureux de pouvoir rêver si simplement; car il faudra bientôt se réveillé. Mais déjà le saule pleureur qui annonce le rue des palette apparait, plus loin dans cette même rue il y aura un appartement au n°42 : notre appartement et le rêve se dissipera. Il commence à s'estomper mais je suis apaisé malgrès la déception. Je ferme les yeux pour mieux profiter des dernier instant, pour ne pas voir l'appartement apparaître, pour ne pas voir le rêve se finir mais Gajeel d'une voix pleine d'amour me chuchote:

- si tu t'endors maintenant tu va maintenant, tu pourrais bien ne plus te réveiller.

 je ne sais pas s'il a lu dans mes pensé ou s'il parle d'autre chose, il me trouble.

- Il ne fait pas si froid que sa .

- bien sur que non je te tient au chaud, il me regarde chaleureusement en effet et il reprend taquin :  à moins que tu ne veuille que je te tienne plus au chaud.

Je rie de bon coeur ,c'est une belle façon de se réveillé mais le retour à la réalité se fait plus brutal que prévu, je le voie en premier, Gajeel me regarde toujours et je ne peut qu'articuler avec peine:

- il est là

Alors se chapitre vous en pensez quoi ? quoi ? ah Qui est là, bah sa c'est la surprise ^^

a demain . . . ou pas ?