• Chapitre 10 : Mais qui est ce ?

    Chapitre 10 : Mais qui est ce ?

     

    PDV Gajeel

    Elle est à nouveau elle même, heureuse, détendu et étourdie (oups pardon épanouie). Dans la rue les quelques personnes qui passent sourient à notre passage. On doit avoir l'air d'un couple . . . je sourie à cette réflexion mais me reprend aussitôt : Lévy est ma petite sœur. Elle me fait tellement confiance quelle ferme les yeux sur les derniers mètres, elle est magnifique. C'est un ange d'innocence, elle n'hésite pas une seconde à me confier sa vie ( bon j''exagère un peu mais c'est pas loin). Autant pour la réveiller que pour m'arracher à sa contemplation je la taquine et elle rie, oh dieu elle rie. Si le premier objectif est un sucées le deuxième est un échec total : son rire me plonge dans une transe de bonheur. Je me noie d'amour et de culpabilité pour les sentiment que j'éprouve envers ma sœur.Soudain elle se fige.

    - Il est là, lâche t-elle blême

    Oui il était là, l'ahurie qui nous a gâché la journée. Le petit prétentieux qui était devant l'école attendait maintenantnonchalamment devant 'l'appartement. C'est du harcèlement : c'est tous se qui me venait, se sera l'excuse que je donnerais aux flics quand ils me demanderons pourquoi j'ai tabasser un hommeà mort. Sans plus réfléchir je lâcheLévy décidéà donner un bonne correction à cet avortons, mais elle me retient. Mon envie de meurtre est toujours la mais le message est clair : les mots avant les coups ( c'est comme sa que j’interprète en tout cas)

    - Qu'est ce que tu fou là ? C'est une agression en soi même mais j'utilise des mots.

    - J'habite là !

    Je reste interdit. il habite la ? il ne se formalise même pas de ma colère et lâche juste sa comme sa.

    - Pardon ?

    - Oui je suis le grand frère de Lévy,ça me donne autant que toi le droit de vivre ici.

     

    Je suis perdu, complètement perdu, qui est ce gus? Pourquoi Lévy ne réagit pas ? Elles a l'aire d'être au courant . . . l'a t-elle toujours su ? Non c'est impossible, elle était bouleversé toute à l'heure. C'estsûrement un canular.Mais a partir de là tout va très vite : Lévy sort une lettre de sa poche qui semblait correspondre à sa version, l’auteurracontait qu'il revenait après une longue maladie et qu'il était impatient de la revoir, qu'il était allergique à la framboise aussi . . . Pourtant sa ne prouvait rien. Il pouvait encore mentir, il pouvaitêtre un squatteur qui vivait en faisant croire aux gens qu'il était de leurs familles. Lévy veux attendre la réponse de nos parent mais sa implique qu'il entre dans l'appartement, dans notre vie et je refuse catégoriquement de le laissé entrer . Pendant que Lévy ouvre la porte je le menace par tout se qui me passe par la tête mais il reste calme. Il sourie même et il fini par se pencher vers moi et me dire tout bas :

    - En fait je rectifie, j'ai mille fois plus le droit que toi de vivre ici. Tu ne voudrait pas que je raconte à « notre petite sœur» ton secret . . .

    - De quoi tu parle ?

    j'ai pâlit, et si mon ton est dur c'est par peur cette fois. C'est du bluff il ne peut pas savoir.

    - Tu sais quand tu avait 8 ans et que Lévy . . .

    Il me raconte tout, il me dévoile et je ne peut plus rien dire. Les événement s’enchaîne sans que j'ai de prise sur quoi que se soit : Il entre à la maison, c'est la sienne à présent, la leurs. Il connaît mon plus terrible secret et il peut le révéler à n'importe quelle moment. Je ne suis plus qu'un pion qui dans au creux de sa main.

    On lui a donné la chambre de nos parents, de ses parents. Lévy préparais le dîner pendant qu’ils’installait et moi je me contentais de respirer.Tenter de sortir la tête de l'eau et de faire battre mon cœur tandis que tout mes certitude pour l'avenir s’effondraient. Une chose était sure, du jour où elle saurait je serait rayé de sa vie, haïe et abandonné.

    J'ai du oublié comment parler, Lévy aussi. De toute façon il parlait pour nous tous, ils avaient du temps à rattrapercomme ildisait, il a même réussi à arracher un sourire à Lévy. Mal ? Non je ne me sentait pas mal, c’était bien pire j'aurais voulu disparaître et ne jamais avoirexisté.

    S'il était son frère qu'est se que j’étais moi ? Ça fait 9 ans que je vis dans cet appartement, 11 ans que je la connais et je me sent comme un étrangé, comme si c'était moi qui venais de débarquer a l’improviste pour bousiller leur vie. Il est là chez lui et moi je lui rend sa place, je n'était qu'un «en attendant».

    Je ne finis pas mon repas, je ne débarrasse même pas mon assiette et je n'explique pas mon comportement pourtant horriblement grossier. Je vais m'enfermer dans ma chambre. Je n'ai pas pleuré pas crié, pas tué se blanc bec qui prenais ma vie.Vous pouvezpenser que je réagissait avec excès, qu’après tout c'est aussi mon frère, et bie n non, vous ne savez pas tout et croyez moi je réagis bien pour quelqu’un qui vient de perdre tout se qu’il a.

    Je regarde la lune et pour la première fois depuis très longtemps j'ai envie de m'échappé, partir très loin . . .

     

    Et voilà qu'elle est se terrible secret qui ronge Gajeel ? Et pourquoi se sent il a se point atteint, vous le saurez bientôt peut être demain . . .

    Pour les images en fait Otani et Risa de Lovely complexe sont les parents de Lévy, Gajeel ( et Otoya?) oui vous me direz ils on pas franchement les cheveux bleu mais imaginez qu'ils se les soie teint pour leurs adolescence.


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