• CHapitre 15 : Panique

    CHapitre 15 : Où est tu ?

    PDV Gajeel

     

    Je devais le faire. C'est se que je ne cessait de me répéter tandis que je prenais le chemins du retour. Le chemin de cette maison où je serais bientôt seul. Je marche le plus doucement possible, je  ne veu pas entendre Otoya réconfrté Lévy pour mieu la convicncre de l'accompagné, c'est au dessus de mes force. Je vous vois vgenir," situ veupas qu'il l'aconssole faut pas la bléssé"", mais quelle autre choix avais je ?

    Si je m'y était opposer Otoya lui aurais révélé mon scret  et elle serait pati a la diférence prés qu'elle m'aurait détesté et qu'ele ferait tout pour m'oubliéé. Elle a l'air de bien s'entendre avec Otoya et je me suis dit que si je l'apousslaisait partir, on se verraistou dje resterais malgrés tout un frére à ses yeux. Mais rien e c'est passé comme prévu. Otoya avait menacé de tout révélé a Lévy si je ne la poussait pas à parire. J'était tellement désespéé et agacé d'être ainsi sous son emprise que je n'ai même pas fai attention aux mots que j'ai dit à Lévy et je 'ai bessé, sa ne fait aucun doute.C'est peut être mieyu ainsi, qu'elle me voit voit comme un sale type qu la vire, qui n'a pas besoin d'elle et qui va la remplacé par sa copine. Le problémec'est que j'ai besoins d'elle, désespérement besoin m^me et que Winry n'est pas ma copine.

    C'est une amie au garage , je ne 'lai jamais vu autrement. Ele vais des sentiment pour moi et ele c'est confessé un soir, elle m'a embrassé pour me faire omprendre que qu'elle ne plaisentais pas. Bien sur c'est la que Lévy nous a vu e elles en a conclue qu'on sortait ensemble. Comme si je pouvais aimé quelq'un  d'autre que ma soeur adoré.

    C'est vrai que je suis souvent deors ses dernier temps mais c'est parce que j'ai besoins d'espace, je passe daileurle plus claire de mon temps chez Cbra. Mes amis Onizuka et Gajeel sont trés gentils mais ils ont souvent des solutions peu commune au probémes les plus simples. Le soir u toya est arriver Cobra m'a trouve en train de me battre et il m'a filer un sérieu coup de main, pendant qu'armanoide me soignait j'ai craqué et j'ai révéler mon secret pour la premiére fois depuis plus de 10 ans, en fait pour la preméiere fois tout simplement. Depuis chaqu fois que sa devient trop lourd je passe du temps chez mon voisin.

    Je léve la tête et m'aperçois que je suis presque arrivé. Pourquoi le parc doi il étre s prés de chez moi ?. Devant la porte de l'appartement j'hésite encore.Que va dire Lévy, a t'elle décidé de partie ? j'appuie sur la poigné de la porte qui souvre violament :

    -  évy ? c'est Otoya qui a crié, jereste sans comprendre un moment

    - >Elle n'est pas rentré ?

    - Non je croyais quelle était toujours avec toi , elle m'a laissé unun message comme quoi elle ne partirait pas 

    - non d'un clou déssoudé . . . 

     


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